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On savait qu’un éléphant, ça trompe énormément, mais peindre, alors là non!

C’est le genre de clip que vous allez recevoir cent fois par courriel au cours des prochains jours. Il est déjà en train de se propager comme un virus sur le net. Aussi bien vous en débarrassez tout de suite!

Alors, qu’en est-il de cette vidéo? On y voit un éléphant qui réalise son propre auto-portrait sur une toile à l’aide d’un pinceau. That’s it. Franchement, même si ce genre de clip me laisse généralement indifférent, c’est assez impressionnant!

Voilà un éléphant qui ferait fureur sur la Place Jacques-Cartier à Montréal cet été…

[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=_LHoyB81LnE[/youtube]

Une nouvelle forme de «littérature» vient de voir le jour : le roman Google Maps! Dans The 21 Steps, l’internaute est plongé dans un véritable techno-thriller raconté à l’aide de bulles de textes et d’images aériennes de Google. Ainsi, lorsque Rick, le personnage principal, se déplace en taxi ou en métro à Londres, l’internaute peut suivre ses moindres déplacements grâce aux photographies satellites de Google. C’est comme lire un livre tout en suivant l’action avec une carte routière sur les genoux. Et ma foi, c’est fort distrayant!

En tout, The 21 steps (inspiré du roman The 39 steps de Charles Cumming) compte une vingtaine de chapitres. La navigation est super simple, le texte court et punché et l’histoire vraiment prenante.

Mais aussi bonne l’idée est-elle, il me semble que le concept aurait pu être poussé davantage. Pourquoi ne pas avoir ajouté des effets sonores? De la musique? Varié les angles de vue? L’immersion aurait été encore plus réussie.

The 21 steps est le premier d’une série de sept adaptations de roman à la sauce 2.0 proposée par l’éditeur Penguin Books. Vous trouverez les deux premières sur le site We tell stories.

Via news.com

Les phénomènes naissent sur le web sans qu’on sache toujours pourquoi. Une vidéo de marmotte qui devient virale (Dramatic Chipmunk), une chanson insupportable qui remporte la catégorie Music du 2007 YouTube Video Awards (Chocolate Rain), les exemples de ces «inside jokes» planétaires ne se comptent plus sur Internet.

Le tout dernier de ces memes* (voir définition plus bas) met en scène une icône des années 80, le Archie de la musique pop-bonbon de mon adolescence (oui j’avoue avoir dansé sur sa musique), le gendre que toutes les mères souhaitaient avoir : Rick Astley.

Depuis déjà un certain temps, la mode sur le net consiste en effet à piéger ses amis et connaissances en les envoyant vers un lien où les attend le vidéoclip Never gonna give you up, le hit d’Astley sorti il y a précisément 20 ans. L’arnaque est toujours la même. On vous promet une révélation fracassante si vous cliquez sur l’hyperlien, une vidéo de Paris Hilton nue, des images exclusives de Ben Laden dans sa grotte, name it, et puis BANG, vous vous retrouvez avec un gars qui danse (mal) avec une chemise en jeans et des lunettes fumées trop grandes. Ouch.

Vous venez de vous faire Rick Rolled!

Sur Youtube seulement, la vidéo Rick Roll a été vue plus de huit millions et demi de fois jusqu’à maintenant. Sans oublier que la chanson est devenue l’hymne des manifestations contre l’Église de Scientologie (!!!) et que des blagueurs s’en servent même pour interrompre des matchs de basketball!

Et qu’en pense le principal intéressé? Le LA Times a réussi à retracer Rick Astley en Grande-Bretagne. Dans une entrevue audio, le chanteur se dit amusé et un peu intrigué par cette soudaine et improbable résurrection de son succès.

“I think it’s just one of those odd things where something gets picked up and people run with it. But that’s what brilliant about the Internet.”

Brillant, pas certain. Amusant, alors là oui!

Je propose que l’on lance notre propre meme à saveur québécoise en s’inspirant du Rick Rolling. Quel artiste des années 80 devrions-nous déterrer et remettre au goût du jour? Nuance? Les BB? Martine Chevrier? Il faut qu’un clip existe déjà, préférablement sur YouTube.

On se donne la journée pour y penser. Demain, c’est le premier avril…
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=eBGIQ7ZuuiU[/youtube]

Un meme est une information, un concept, une idée qui se propage sur le net à la manière d’un virus. Imaginez un bouche à oreille de masse ou la phrase originale est reprise, imitée et modifiée sans fin.

Les critiques s’entendent pour dire que Last Night, le dernier album de Moby, est son meilleur depuis l’extraordinaire Play. Le Rolling Stones lui donne 4 étoiles sur 5, idem pour le Times Online, et Philipe Renaud de La Presse parle d’un disque varié et vitaminé.

Trois jours avant la sortie de l’album en magasin, Moby lui-même le rend disponible intégralement sur sa page MySpace.

Les dix-neuf pièces y sont, en «streaming». Enjoy.

Dans un jeu vidéo de stratégie en temps réel du genre Starcraft, Command and Conquer et Age of Empire, le «fog of war» est une espèce de brouillard noir qui recouvre la carte avant qu’une de nos unités ne l’explore. En d’autres mots, pour connaître l’emplacement de ses rivaux et prendre connaissance du terrain, il faut continuellement patrouiller la carte. Le sort de la partie en dépend. À la guerre, la cueillette d’information est cruciale.

Sans doute est-ce un relent de mon année passée au collège militaire, mais j’ai tendance à considérer mon agrégateur de contenu comme mon propre département du renseignement. Chaque jour, mes petits soldats partent infiltrer le web à la recherche d’info, épluchent les fils RSS de dizaines de sites, scannent autant de blogues.

Pour rester à jour, il faut faire preuve de constance et de rigueur, ne jamais laisser l’information s’accumuler et nous ensevelir. Ma journée de tournage de jeudi (Bloopers) et ma remise en forme de vendredi (après ma virée au Pinokkio comme DJ invité) m’ont tenu éloigné de l’ordi pendant deux jours. Résultat : 1742 «posts» accumulés dans mon NetNewswire et l’impression d’avoir été absent de la planète pendant une éternité.

Le «fog of war» va être long à dissiper…

Petite question comme ça au «web junkies» qui passent par ici. Vous êtes abonnés à combien de sites? Combien d’entrées vous lisez dans une journée?

PS : Ah oui, j’ai ajouté les liens de la balladodiffusion de ma chronique à Énergie à la fin de mon texte ici. Pour ceux qui trouvaient que 8h30 c’était un peu tôt pour écouter la radio…

Le petit milieu de la webtélé québécoise est une fois de plus en ébullition cette semaine. Deux productrices de renom se lancent dans l’aventure avec un site ambitieux sur la cuisine, cyberchefs.tv.

À signaler aussi quelques nouveautés dans notre compte-rendu hebdomadaire : À deux pas de la porte, Müvmédia, Ça manque à ma culture et Canoë.tv.

Et puis, il était temps que notre WebTV Hebdo se dote d’un logo en bonne et due forme!

C’est chose faite grâce aux créatifs de Pica Communications. Merci Jess…

Cette chronique a été écrite à quatre mains avec l’aide de Patrick Dion.

(Lire la suite..)

À quoi ressemble une gifle lorsqu’elle est filmée à 4000 images par seconde? C’est la question que s’est posée l’équipe de Brainiac, une émission de télévision britannique qui se spécialise dans les expériences scientifiques loufoques.

Le résultat est spectaculaire. Au ralenti, une simple petite gifle prend les allures d’une véritable défiguration, le visage de la «victime» se décomposant dans une succession de vagues de chair humaine. Wow. On a mal juste à regarder.

Imaginez un coup de bloqueur dans le visage d’un gardien de but qui ne se défend pas. Je dis ça comme ça… Pour voir d’autres ralentis incroyables, j’ai déjà écrit sur le sujet ici.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=3BRw_ihZRJI[/youtube]

J’ai commencé ma carrière dans les médias à la radio. D’abord à CISM, la radio étudiante de l’Université de Montréal où j’étudiais les communications et puis ensuite à CJSO, la station régionale du Bas-Richelieu. J’ai toujours tripé fort sur ce médium. Pour sa spontanéité, sa fraîcheur et la liberté qu’il offre de se tourner sur un dix cents. Et aussi surtout parce qu’on peut y travailler un lendemain de veille, avec une gueule de bois, sans faire sacrer les maquilleuses!

Il y a longtemps que je rêvais d’y faire un retour. Énergie 94,3 m’en donne aujourd’hui la chance. À compter de demain matin, je me joins à l’équipe de C’t’encore drôle à titre de chroniqueur web et techno. Je serai en ondes chaque jeudi vers 8h40. Dans le même studio que Mitsou. Glurp!

Mon sujet demain : les dispositifs mains libres pour les téléphones cellulaires. Je vous rappelle qu’il ne reste plus que quelques jours avant l’entrée en vigueur de la loi 42 qui interdit l’usage d’un combiné téléphonique dans une voiture.

Pour connaître les options et les détails de la réglementation, soyez au poste demain.

Mise à jour: Comme toujours, dans le feu de l’action, on oublie de dire un paquet de trucs. Ainsi donc, le dispositif mains-libres dont j’ai parlé ce matin à Énergie est le Jawbone. Il est vendu au coût de 120$ environ dans les boutiques Telus. Vous pouvez voir une démonstration du gadget dans la vidéo plus bas. Par ailleurs, ma chronique sera disponible en balado-diffusion sur le site d’Énergie. La première partie est ici. La suite ici.
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=MrRx805JqM4[/youtube]

Chris Crocker s’est rendu célèbre dans le monde grâce à Leave Britney Alone, une vidéo percutante dans laquelle il défendait Britney Spears sur YouTube. C’était au lendemain de la désastreuse performance de la chanteuse aux MTV Music Awards, les médias s’acharnaient sur Spears, et Crocker, un fan fini, a laissé explosé sa colère dans une vidéo saisissante où se mêle cris, pleurs et une rage digne d’un fanatique.

À ce jour, elle a été vue plus de 18 millions de fois sur YouTube et a inspiré d’incalculables parodies. Plusieurs ont soupçonné Crocker d’avoir joué la comédie pour attirer l’attention sur lui, mais le résultat est le même. Le gars est sorti de l’anonymat et aurait été approché pour jouer dans sa propre série de télé-réalité.

Olivierchamp (c’est son nom d’utilisateur sur YouTube) a eu l’idée brillante de reprendre le concept de la vidéo de Crocker pour se porter à la défense de Jonathan Roy, le gardien de but des Remparts.

J’en ri encore!

Merci à Pierre Bouchard pour le tuyau.

[youtube]http://fr.youtube.com/watch?v=1tEza-tAtXM [/youtube]

Je m’appelle Jordy
J’ai 4 ans et je suis petit
Dur dur d’être un bébé

Ça vous rappelle quelque chose? On nous a tellement cassé les oreilles avec cette chanson, qu’à la fin, on voulait tous le tuer le petit Jordy! C’était en 1992. Le clip est ici pour les jeunots qui lisent ce blogue et qui ne savent pas de quoi je parle…

Et puis, comme ça arrive souvent avec les produits préfabriqués, le blondinet garçon a disparu des écrans radars, après avoir tout de même été le plus jeune chanteur à obtenir la première position des palmarès. Il détient même un record Guiness!

Jordy Lemoine, c’est son vrai nom, est aujourd’hui de retour devant les projecteurs. Il a 20 ans et un nouveau groupe appelé The Dixies.

Ça ne nous rajeunit pas personne…