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7 milliards d’humains sur Terre en 2011

2 janvier 2011

Si vous vous mettiez en tête de compter à voix haute jusqu’à 7 milliards, sachez que cela vous prendrait… 200 ans! C’est l’une des statistiques ahurissantes de ce clip du magazine National Geographic visant à souligner la naissance prochaine d’un 7 milliardième humain sur Terre. Trois petites minutes qui mettent bien des choses en perspective en ce début d’année!

Pour approfondir le sujet, article ici.

  11 commentaires

  1. claude C

    13 ans  

    Le premier milliard d’être humain a été atteint en 1800 environ, de nos jour la planète augmente d un milliard d’habitant tout les 12 ans,c’est de la folie furieuse, c’est complétement débile.

  2. David

    13 ans  

    Ca va arreter un moment donner

  3. Suzanne

    13 ans  

    Ça ne semble pas venir à l’esprit des  » élus  » de ce monde de parler de mesures de restriction des naissances. Les Chinois ont fait leur part, il faudrait que les autres nations s’y mettent; les ressources de notre planète vont bientôt se tarir.

  4. Heul Savais

    13 ans  

    « souligner la naissance prochaine d’un 7 milliardième humain sur Terre »

    erreur !

    si on compte tous ceux qui sont mort, je crois que le 7 milliardième est né il y a longtemps !

    A moins que vous vouliez dire « le 7 milliardième être à vivre en même temps que les 6,999,999,999 autres !

  5. 13 ans  

    c’est pour ca que l’homme a créer les guerres 😉 😉 A quoi vous pensez que ca sert sinon a réduire les populations? Enrolez-vous qui disais!

  6. Bouthillette René

    13 ans  

    7 milliards , ce ne sont toujours bien pas les Québécois , ni nos voisins les Anglo-Canadiens ( ! ) qui participent le plus à faire grossir le nombre . On ne procrée même plus assez pour asssurer le renouvellement de notre race.

    Quoi faire ? Qui choisir pour une stérilisation collective ? Ça ne se pose quasiment pas comme question ni ça ne se répond.

    Allons-nous le découvrir ce coin du globe de ciel bleu où il y a comme sur la terre oxygène , hydrogène et eau et où on pourra y déménager quelques colons et repartir la « peuplade » ?

    Mais nous devons au départ s’assurer de 2 ou 3 élements : pas de Chinois , ils peuplent trop vite et pas d’Américains pour éviter guerre ,pollution et chaînes de Fast-Food !!!

    A quand le premier départ , j’embarque …

  7. claude C

    13 ans  

    La Nature va reprendre sont droit, madame nature a toujours le dernier mot quand il y a surpopulation d’être vivant sur un territoire donné, l’homme s’est toujours cru plus fort que la nature, voila sa grave erreur.

    Maladies, changements climatique,séismes, guerres, famines et j’en passe, il y aura un gros clean up, c’est une certitude!

  8. Mariette Beaudoin

    13 ans  

    Il faudrait qu’une compagnie de condoms invente un préservatif agréable à porter, résistant et peu onéreux pour ceux qui ne veulent pas procréer. Ainsi, même les habitants des pays pauvres pourraient en acheter. Un enfant, ça coûte pas mal plus cher que des boîtes de latex. L’équilibre démographique sera-t-il un jour atteint ?

  9. claude C

    13 ans  

    a Mariette Beaudoin

    C’est pas vraiment les condoms le problème,c’est plutôt la culture de certains peuples qui l’est, quand avoir des tonnes enfants est une source de main d’oeuvre pas chère pour une famille pour cultiver la terre, pour chasser… même si vous leur fournissez des condoms gratuitement, il en voudrait même pas.

  10. 12 ans  

    Démographie et abominable pyramide sociale

    La misère n’est pas, comme la pauvreté, un état relatif trop souvent confondue avec l’inconfort. Bien que privé du progrès, tel qu’il est permis d’y accéder normalement au plus grand nombre des citoyens des États dits avancés, qu’a en effet de commun le pauvre à Paris ou au fin fond de la banlieue la plus déshéritée de n’importe quelle grande cité occidentale, avec l’habitant du Sahel ou d’un miséreux sur son tas de détritus dans les faubourgs du Caire ?
    S’il est possible de relativiser la pauvreté au point de l’assortir d’indices et autres outils d’évaluation statistique, il n’en est pas de même pour cette sous-pauvreté qu’est la misère, qui règne la où la question du chômage ne se pose même pas, faute d’activités industrielles ou autres. Aurait-elle d’autres causes qu’économiques ? l’absence du minimum de ressources qu’elle traduit ne résulterait-elle pas plus simplement d’une croissance démographique « sauvage » ?
    Pour comprendre, plutôt que de considérer de banales courbes et tableaux de chiffres, il est proposé ici de méditer sur la pyramide, cette structure que les anciens, qui étaient peut-être meilleurs observateurs que nous, ont pu déjà considérer comme représentative de tous types d’organisation hiérarchisés. Appliquons-en la structure et le volume, avec sa base et son sommet, à l’ensemble des hommes peuplant la planète. Une telle pyramide sociale (ou des richesses matérielles puisque là est désormais l’aune à laquelle se mesure le bonheur des hommes) avec l’opulence à son sommet et la misère à sa base, met bien en évidence que l’existence de cette dernière est directement liée à la démographie.
    Dès lors que cette pyramide croît en volume, ce qui est le cas du simple fait de l’augmentation constante de la population, sa base se développe toujours davantage que son sommet, alors que se livre à tous ses niveaux une lutte ininterrompue pour la conquête des richesses et leur illusoire partage. Il s’agit pour chacun de se hisser à un étage supérieur à celui qu’il occupe, en dépit du poids qui l’écrase. À noter au passage le confort bien relatif de ceux qui occupent une situation médiane, comprimés entre la poussée venant du bas et le poids qui les domine.
    Parfois, une secousse est provoquée par une base insurgée ; c’est la révolution. Celle-ci peut entraîner quelques changements pour les mieux nantis aussi bien que des bouleversements profonds, mais la structure de l’ensemble reste immuable, avec les plus riches (ou les plus puissants, ce qui revient au même) au sommet et les autres s’entassant, toujours plus nombreux, à la base. Ainsi, en 2011, sur 7 milliards d’êtres humains, cette base en compte 3 qui vivent avec moins de deux dollars par jour – l’un d’entre eux mourant de faim toutes les 3 secondes –, alors qu’au sommet logent les 500 personnes les plus riches du monde. Et chaque jour voit croître la population mondiale de plus de 220 000 individus, chacun allant sagement se ranger à la place que lui assigne le sort dans une pyramide qui s’atrophie d’autant. Hormis les arguments sans plus de fins que d’efficacité de ceux qui promettent aussi bien le prochain arrêt de la progression qu’une explosion, le constat est ce qu’il est, et puisqu’il nous semble interdit d’envisager une autre structure que pyramidale, des questions se posent, appelant des réponses chaque jour plus urgentes :
    – Jusqu’où irons-nous ?
    – Par quels moyens le cours des choses est-il susceptible de changer :
    – Par la révolution ? C’est peu vraisemblable. Quelles que soient leurs raisons, leur ampleur et leur violence, les révolutions n’ont jamais rien changé à la structure pyramidale de la société, en dépit de ceux qui s’obstinent à nier à la pyramide son caractère représentatif du monde dans lequel nous vivons ; refusent d’en reconnaître le caractère incontournable, ou veulent la contraindre à une platitude aussi égalitaire qu’utopique, quand ils ne prétendent pas la faire reposer sur sa pointe.
    – Par la fraternité ? Il suffit d’en considérer les acquis au cours de l’histoire et spécialement durant le siècle écoulé, pour se faire une idée de ce qu’il y a lieu d’en attendre.
    – Par le progrès scientifique et technique ? Il n’est qu’un outil aux mains des hommes, qui en font ce qui motive l’observation du point précédent.
    Y-a-t-il des solutions et quelles pourraient-elles être ?
    L’individu étant condamné à la simple prise de conscience et au mieux à des vœux ou à des gestes sans portée réformatrice, c’est aux politiques, dont le rôle est de prévoir, de s’en préoccuper. Après avoir pris eux-mêmes pleinement conscience d’une situation aux conséquences aussi désastreuses que prévisibles, il est de leur responsabilité d’identifier les vrais problèmes et de leur affecter un ordre de priorité. Or qui s’en soucie au-delà du constat ?
    Pourtant, si rien n’est fait pour ramener la population du globe à un niveau maîtrisable, dans les meilleurs délais et conditions possibles, l’humanité ne fera qu’accroître ses maux jusqu’au pire. Prendre conscience d’une évidence criante, le plus largement et la plus rapidement possible ne peut plus suffire. Le pragmatisme dicte de procéder à un investissement massif en vue de réguler le niveau de la population mondiale sans plus s’en remettre hypocritement à la providence davantage qu’aux saignées opérées ici et là par les guerres, les famines et la maladie, et sans s’arrêter aux considérations d’ordre idéologique, religieux, etc. qui ne manqueront pas d’y faire obstacle.
    Alors que chaque pays en est encore à débattre de son cas, le problème de la pauvreté est mondial et rien d’utile ne pourra se faire autrement qu’à cette échelle et par la démographie. Alfred Sauvy écrivait, il y a plus de 50 ans (De Maltus à Mao Tsé-Toung – Denoël 1958) :« À l’échelle internationale, les sentiments de pitié ou de solidarité humaine s’exercent plus facilement à l’égard de la maladie (ou, à la rigueur, de la famine extrême) qu’à l’égard de la pauvreté. Des secours extérieurs sont accordés pour guérir les hommes ou tout au moins pour les empêcher de mourir, mais non pour leur permettre de vivre. ». Le moment n’est-il pas venu d’ajouter « … ou les empêcher de naître en surnombre ».

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