Sans doute est-ce en raison des souvenirs des jeux de ti-gars que l’événement réveille en nous, notamment le plaisir défendu de ramper dans de la grosse bouette bien juteuse. Ou encore ce bonheur un peu nono de comparer ses éraflures au lendemain de l’épreuve (mes scratchs sont plus grosses que les tiennes!).
Peut-être y a-t-il aussi ce besoin qu’on a tous de faire quelque chose qui sort de l’ordinaire, de se mettre en péril, de voir jusqu’où on peut aller. Toujours est-il qu’un mois presque jour pour jour après le Spartan Race de Tremblant, je suis en manque.